Béatrice Shalit est née à New York. Après des études en France et aux États-Unis, elle devient productrice, scénariste et réalisatrice de télévision. Elle a par ailleurs publié une dizaine de romans dont, aux éditions Bernard Barrault, L’Année de Louise (1984), Le Plus Jeune Frère (1986), Lisa, Lisa (1990), et chez Julliard, Famille et autres supplices (2000), Ne m’appelez plus Varsovie (2003) et Merci d’être venu (2006).
A propos de Famille et autres supplices
« Amour, argent, sexualité sont évoqués avec une fantaisie, un sens de la dérision et une cocasserie derrière lesquels paraissent des vérités de la vie ordinaire. »
Pierre-Robert Leclercq, Le Monde des livres
« Un roman qui traque sur le mode burlesque tous les dysfonctionnements familiaux. C’est féroce, mais d’une drôlerie irrésistible ! »
Lire
« Béatrice Shalit, on vous aime. Avec ce roman sensible, burlesque, vous nous avez conquises ! »
Elle
« Dans son huitième roman, Béatrice Shalit parle toujours de famille et d’amour, mais l’humour se taille ici une belle place. »
Côté-femme
A propos de Merci d’être venu
« Ce roman est décidément placé sous le signe du rire, quelles que soient les situations les plus tragiques. Une sorte de thriller loufoque rempli de fous rires nerveux. »
Le Quotidien du Médecin
« Béatrice Shalit livre l’émouvant portrait d’un père émoussé par l’âge et ceux de plusieurs femmes au bord de la crise de nerfs. »
Epok
« Avec son humour ravageur, Béatrice Shalit entraîne ses personnages et ses lecteurs dans un tourbillon de situations cocasses et tragiques. »
Le Var
« Un dernier ouvrage qui se révèle drôle, agréable, facile à lire. Les nombreux personnages sont hauts en couleur et pimentent le récit avec leurs tribulations loufoques ! »
La Montagne
« Du mystère, de l’humour, de la psychologie. Un moment de lecture très agréable. »
L’Est-Eclair
« Béatrice Shalit s’amuse à mettre ses personnages dans des situations aussi invraisemblables que loufoques et personne n’échappe à son humour ravageur. »
Le Bien Public
