lundi 9 mai 2011

A propos de Rosa Hoffmann de Jean-Jacques Salgon

"... ton livre est construit sur ce balancement entre amour et haine, élan vers l'autre, quête d'amour, et repli sur soi, générosité et égotisme, et il est finalement beaucoup moins "léger" que tu ne le dis. Il cache bien son "je" (celui de Rosa) sous des péripéties truculentes ou cocasses. Ta réussite est là: tu écris un livre qui se lit facilement, qui captive comme un polar (couverture, titre) parce qu'il y a un suspense mais dont la composition est complexe (entrecroisement de l'affaire du tueur avec celle de l'Admirateur) si bien que sans même que le lecteur ne s'en aperçoive (puisque tout est traité sur le mode burlesque) il est entraîné à côtoyer un monde trouble, ce "continent noir" qui fait tout le prix de la psyché humaine. C'est aussi un livre féminin, plutôt que féministe, c'est à dire qui ne revendique pas mais qui affirme. Je pense donc que ce livre est très réussi, je le conseille sur Facebook et on va suivre à présent sa carrière. Je vais dès ce matin en dire tout le bien que j'en pense. Je t'embrasse bien fort. JJ "

Quand l'auteur se dévoile... un peu.

Un auteur peut-il se vendre soi-même? Evidemment, ça ne se fait pas...
Mais l'auteur peut s'expliquer sur son projet, son travail. 
Rosa H est en quelque sorte mon premier polar. Je crois que c'est un vrai polar 
avec une intrigue et un suspense qui tiennent tout à fait la route. 
Comme je ne suis pas dépourvue de malice, je l'ai parsemé d'humour, un humour un peu distancé qu'on ne peut en aucun cas qualifier de "burlesque". Je ne suis pas le Laurel et Hardy de l'écriture. 
D'ailleurs, je les ai toujours détestés, ces deux-là. 
J'ai voulu que mon livre soit tendre, et j'aime mes personnages. 
Horrible vanité peut-être de ma part, je pense avoir une écriture qui ne ressemble pas tout à fait à celle des autres. 
Mais surtout, surtout, j'ai  voulu partager avec vous, amis lecteurs.
Un livre, c'est aussi une conversation avec les autres, l'autre

mardi 15 mars 2011

Sortie prévue le 5 mai 2011

Rosa Hoffmann trouvait sa vie fade et désespérante... 
Si elle avait imaginé le maelström qui allait l'assaillir, aurait-elle choisi la monotonie ou la tornade ?